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Le lait de vache

Depuis notre plus jeune âge, la plupart d'entre nous ont été éduqués dans l'idée que le lait est un bienfait pour notre santé (calcium), et pourtant, les nombreuses études montrent sans ambiguïté la nocivité de cet aliment, qui n'est absolument pas adapté à l'homme ! Le lait maternel humain est la continuation parfaitement naturelle de la fonction première du placenta. Il est important de comprendre que le placenta transmet une information qui permet le développement de l'embryon jusqu'à la naissance. L'allaitement est la continuation de cette information pour la croissance du bébé pendant six mois minimum. Le lait maternel est un régulateur hormonal parfaitement adapté au bébé, ce qui semble finalement évident, chaque race ayant les attributs chimiques nécessaires adaptés à ses petits !
Pensez-vous que le lait d'une vache prévu pour son veau est donc adapté pour un bébé humain ? C'est bien évidemment d'une grande incohérence ! Les informations de croissance transmises au veau sont par exemple de peser 500 kg à six mois ! Cette information qui n'est absolument pas adaptée à l'homme aura inévitablement des conséquences fâcheuses sur l'organisme humain, à court puis à long terme. Même si le métabolisme humain essaie de s'adapter à ses molécules bovines, cela ne suffit pas et détraque en profondeur la biologie du corps humain !
Le calcium
Le lait de vache contient en effet du calcium, mais ce dernier n'est pas disponible pour l'organisme humain, pour la raison que les protéines qui sont dans le lait animal, et qui ont pour fonction de transmettre l'information pour l'élaboration de l'osséine (substance protidique constitutive des os), ne sont pas adaptées à notre espèce, mais au veau, donc elles seront totalement inopérantes pour l'être humain. L'argument du calcium est donc totalement faux.
Les graisses saturées du lait de vache
Saviez-vous que le lait humain est constitué en grande partie d'acides gras poly-insaturés (qui n'est pas saturé), mais que le lait de vache contient essentiellement des acides gras saturés, que l'organisme humain à bien des difficultés à digérer ! Le système biliaire est vite fatigué par sa difficulté d'absorber un aliment incompatible avec le système digestif.
Les molécules géantes du lait de vache !
Les molécules et les protéines du lait bovin sont géantes en rapport à celle des êtres humains ! L'effort que doit fournir le foie pour dégrader ces molécules est intense et éprouvant. La formule biochimique du lait de vache restera la même, que le lait soit entier ou non, ou dilué avec de l'eau, donc l'effet sera le même sur le corps !
Est-il normal de boire du lait à l'âge adulte ?
La réponse est bien entendu : non. Pourquoi ? Auriez-vous l'idée de téter votre mère à l'âge adulte ? Le lait remplit sa fonction de croissance (suite au placenta) pour le corps du bébé, mais n'est plus approprié une fois le sevrage fait. N'est-ce pas évident ?
Evolution pathologique
1. L'encrassement tissulaire commence dès le plus jeune âge par des problèmes inflammatoires touchant la sphère ORL (sinusite, amygdalite, conjonctivite, mastoïdite, méningite). Si les inflammations catarrhales ne sont pas supprimées (allergie au lait de vache par exemple), celles-ci atteindront l'enfant dans les parties plus basses (cage thoracique) avec des pleurites, laryngites, trachéites, bronchites.
2. A la puberté, l'adolescent, soumis à de nouveaux processus hormonaux élimine tant bien que mal ses toxines par le biais de la peau. C'est ce que l'on appelle l'acné juvénile, qui passera progressivement, comme les diarrhées du bébé ont progressivement disparu. La cause demeurant, la situation reste inchangée. Les signes de carences se manifestent par des déminéralisations (dentaires et osseuses), des troubles du poids, d'attention, de vision, s'ajoutant aux fatigues et nervosité.
3. A l'âge adulte, l'inflammation se propagera vers la sphère digestive avec des gastrites, colites, cystites, sigmoïdites. L'invasion inflammatoire se fait du haut vers le bas avec une progression plus ou moins rapide suivant l'état du terrain de chacun (potentiel vital fort, faible ou absent) et cette pathologie sera d'autant plus tenace et envahissante que les moyens pour arrêter sa progression ne feront qu'affaiblir le potentiel vital par absorption de toxines supplémentaires (médicaments) et fermeture des émonctoires (antibiotiques). Encore une fois, on essaie de soigner les effets et non d'arrêter la cause qui reste ici une intolérance à un aliment non spécifique.
Cette progression continuera tant qu'un redressement alimentaire correct ne viendra pas la stopper.
Toutes ces maladies chaudes inflammatoires, dites en "ites", se transformeront petit à petit en maladies froides, dites en "oses" (artérioscléroses, tuberculoses, cancéroses).
Les maladies silencieuses sont les plus dangereuses et les plus vicieuses. Elles progressent sans crier garde car le potentiel vital de la personne s'est considérablement affaibli par la prise de médicaments en plus de la continuation de la cause provoquant la toxémie. La phase aiguë du début de la vie et sa force d'élimination (diarrhée, vomissement, fièvre, acné, toux) vont peu à peu se transformer en phase silencieuse chronique où la maladie s'installe et s'incruste en formant kystes, polypes et indurations.
Les processus des défenses immunitaires seront grandement affaiblis et la pathologie accédera à un stade irréversible. Cette finalité est d'autant plus triste qu'elle aurait pu être facilement évitée.
Conseils
Alternative au lait de vache pour le bébé, en cas d'impossibilité de l'allaiter :
Le lait d'amande est privilégié, mais aussi de châtaignes ou de noisettes. Se renseigner sur internet ou auprès des personnes compétentes.
Alternative au lait de vache pour l'adulte :
Le lait épeautre-riz-noisette de Bonneterre est tout simplement délicieux. Déplacez-vous dans des boutiques de produits bio, vous aurez une large gamme de "laits" végétaux. Je vous déconseille néanmoins le lait de soja, pour les purines et les phyto-oestrogènes qu'il contient.